La Ségoula pour se marier !

Il n’y a pas de solutions miracles pour trouver son mazal, il faut faire toute la « hichtadlout » possible :

    • Participer à des Chabbat-célibataires…

Autrement, voici une ségoula (combine de la Torah) qui peut aider et qui marche souvent (elle a marché pour les femmes de deux de mes élèves) ; normalement, elle arrête aussi le pouvoir de la sorcellerie.
Je la tiens de Rav Guid’on ben Moché (le partenaire d’étude du Rav Ovadia Yossef (Zatsal)) :

        • Il faut traverser la mer.

          En Israël, on fait cela sur le lac de Tibériade.

        • En France, on peut par exemple traverser la Manche.
    • Durant la traversée,

        • On dira la deuxième ligne de Ana Békoa’h (page 30 du Pata’h Eliahou) :
            • Kabel rinat ‘amékha sagvénou taharénou nora
          • (pour les hommes, on fera d’après le prénom reçu à la Brit-Mila c’est à dire par celui avec lequel on nous appelle pour monter à la Torah ;
          • pour les filles on utilisera le prénom usuel par lequel on nous appelle habituellement, même si le nom n’est pas juif.
          • En ce qui concerne le prénom de la mère a rappeler, on procédera comme pour le nom du femme c’est à dire le prénom par lequel on l’appelle habituellement, bien que le prénom ne soit pas forcément juif).
        • Le chapitre 119 des Téhilim est composé de 22 fois 8 versets.
            • Il y a 22 lettres dans l’alphabet juif.
                • Ainsi les 8 premiers versets commencent par Aleph,
                • Les 8 suivants par Bet,
                • et ainsi de suite.
            • On lira, pour chaque lettre de son prénom, les 8 versets du chapitre 119 des Téhilim commençant par lettre correspondante.
            • Par exemple :
                • Si on s’appelle Chlomo ben Suzanne, on lira
                    • Les 8 verstes commençant par la lettre « Chine »,
                    • Puis les 8 versets commençant par la lettre « Lamed »,
                    • etc.
                        • Il fera de même pour le mot ben (fils de),
            • Et s’il s’agit d’une femme elle dira « bat » (fille de)
                • et fera de même pour le prénom usuel de la mère.
        • Ensuite, on lira 7 fois, le texte écrit page 280 du Pata’h Eliahou depuis les mots « Vihi No’am*  » de la façon suivante :
            • On commencera par les mots « Vihi No’am » jusqu’aux mots « Veareou Bichouati« .
        • Ensuite on répétera tout ce texte en le lisant à l’envers de la façon suivante :
            • « Bichouati Veareou Asbireou etc… jusqu’à No’am Vihi« .
            • On procédera de cette façon 7 fois de suite.

        • Une fois arrivée de l’autre coté de la mer,
            • on descendra du bateau pour toucher la terre ferme, et on recommencera la procédure durant le retour.

Bonne chance,
Rav Ron CHAYA

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Sur le sujet 

À voir aussi, des liens vers d’autres ségoulot utiles :