L'homme et son prochain

Etude du Jour - Numéro 82

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

Parler sur un enfant

En règle générale, il n’est pas interdit de
médire d’un nourrisson ou d’une personne
mentalement diminuée, car ceux-ci n’en
éprouvent ni honte ni peine.

Même envers un enfant plus âgé, tout ce que
l’on racontera à son sujet et qui ne lui fera pas
honte n’est pas considéré comme de la
médisance.

Toutefois, si par la faute de la médisance, ces
personnes risquent de subir un quelconque
préjudice, d’éprouver de la honte ou de la
peine, cela devient interdit.

En effet, la Halakha stipule que quiconque
humilie un enfant lui doit un
dédommagement, ce qui prouve que la honte
ne tient pas compte du nombre des années.

Médire d’un mort

Un anathème a été instauré par les Anciens,
sur quiconque médirait d’un mort, qu’il soit
érudit ou ignorant.

Quiconque agirait de la sorte devra se
repentir, s’imposer des jeûnes et une sanction
financière, selon le jugement d’un Beth Din.
De plus, il faudra se rendre (ou déléguer
quelqu’un) sur la tombe du défunt dont on a
médit, afin d’implorer son pardon.

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l