L'homme et son prochain

Etude du Jour - Numéro 9

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

Éclaircir les faits

Dans le cas où nous sommes tenus de faire une remontrance à autrui ( à un homme de type « beinoni« ), car nous l’avons vu fauter de manière explicite, il est pour autant recommandé d’éclaircir au préalable, le contexte et les détails de son action.

En effet, cela nous amènera à faire preuve de plus de respect et de dignité dans nos propos et entraînera un grand Kidouch Hachem (Glorification du nom de D.ieu).

Cette précaution nous permettra également d’éviter les malaises et / ou quiproquos.

Certains sont d’avis que cette mitsva de précaution ne s’impose que lorsqu’il s’agit de réprimander un membre de sa famille.

Soupçonner à tort

Nos sages disent : “Que je puisse avoir une part égale à celui qui est soupçonné en vain !”, laissant entendre qu’il est avantageux pour un homme d’être soupçonné à tort.

Cependant, quiconque soupçonne à tort son prochain doit obtenir son pardon.

En effet, ce dernier, malgré le mérite qu’il reçoit d’avoir été soupçonné en vain, a subi un préjudice ! 

En plus de demander pardon, il faudra lui demander sa bénédiction

Cependant, s’il ne l’a soupçonné qu’intérieurement, ou que l’autre n’a pas été informé des soupçons qui pesaient sur lui, il ne faudra pas lui présenter ses excuses. 

En effet, à quoi bon susciter un malaise, alors que le malentendu peut être passé sous silence?

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l