Lachon Hara

Etude du Jour - Numéro 49

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

S’il voit une personne commettre un acte qui peut être interprété dans les deux sens, la règle est la suivante:

S’il s’agit d’une personne qui craint D., il a le devoir de la juger positivement et ce, même s’il semblerait plus logique de la juger défavorablement. Si c’est une personne moyenne et que son acte peut être interprété aussi bien positivement que négativement, c’est une obligation de la juger favorablement et il est interdit de médire d’elle. Mais s’il est clair qu’elle a commis une faute, il convient de lui accorder le bénéfice du doute. Même lorsqu’il est autorisé à la considérer coupable, il n’a pas le droit d’en faire part à d’autres, à moins que toutes les conditions expliquées par la suite soient réunies.

Il est interdit de dire du mal son prochain.

Cet interdit ne s’applique pas seulement à des propos n’ayant pas véritablement une connotation péjorative comme par exemple raconter les mauvaises actions de ses ancêtres. Mais même s’il l’a vu de ses yeux commettre un péché envers D., il n’a pas le droit de le raconter. Cet interdit est valable s’il l’a vu commettre un péché, peu importe si celui-ci est connu pour être très grave ou pas. Et même s’il s’agit d’une chose dont nos sages ont commandé de s’abstenir seulement à priori, il n’a pas le droit de le divulguer.

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l