Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah
Si un père demande qui a cassé le vase dans
la maison, Il est permis à un enfant de
répondre à son père en « dénonçant» un autre
frère qui a fait ce dégât si l’enfant le dit dans le
cadre des conditions du lachon hara dit
létoéleth, c’est-à-dire :
Ainsi, la question du père “qui a cassé le vase”
n’est pas du avak lachon hara ; c’est pour cela
qu’il doit dire aux enfants avant de poser la
question, qu’il ne leur demande pas cela pour
faire du lachon hara mais létoéleth, dans un but
utile, et que dans ce cas c’est permis, et même
une mitsva.
Le père n’aura pas non plus le droit de croire
l’enfant qui va lui répondre, car nous n’avons pas
le droit de croire du lachon hara, même létoéleth,
mais seulement de le prendre en considération.
Ce qu’il pourra faire c’est aller demander à
l’enfant qui a été accusé si cela est vrai ; et
seulement s’il dit oui, alors on pourra le croire.
S’il y a une utilité d’écouter la personne
vider son cœur pour éviter qu’elle ne le vide
ailleurs en faisant beaucoup de « dégâts », il est
permis d’écouter ce lachon hara.
Mais même si ce n’est pas le cas, le mieux est
d’écouter de toute façon ce lachon hara en
pensant qu’on l’écoute afin que :
Soit on conseille la personne comment agir de la
façon la plus juste qui soit d’après la Torah ;
Soit pour amoindrir à ses yeux le « péché »
commis par la personne dont elle se plaint, et
diminuer ainsi le lachon hara.
De cette façon, il sera permis d’écouter le lachon
hara même s’il n’y a aucun risque que la personne
aille se « vider » ailleurs en faisant plus de dégâts.
Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l