Cher Rav,
Voici ma question :
Mon mari trouve que j’ai changé, il me reproche de ne pas être assez diplomate envers mes beaux parents.
(déjà petite, ma mère me disait souvent dit que j’avais un mauvais caractère, et que je n’étais pas diplomate).
Est-‘il possible que cela soit dû aux mezouzot que nous n’avons pas faites vérifié (cela fait 3 ans), ou que ce le yetser hara qui justement fait cela pour avoir des tension dans mon couple.
Quand nous sommes seule a la maison avec nos enfants, tout se passe bien. et avec mes beaux parents, j’ai du mal.
Comment pourrais je faire, pour améliorer mes relations avec mes beaux parents ?
C’est vrai que mère de 2 garçons, je ne laisse pas passer beaucoup de choses avec mes beaux-parents.
Autre chose :
Pouvez-vous faire une bénédictions pour que je puisse ne plus avoir peur ?
Ma voisine s’est faite agresser en rentrant chez elle ; elle a été dans le coma et depuis elle est paralysée d’un coté…
Depuis, j’ai peur de sortir seule, en plus j’ai des enfants ; comment faire pour vaincre cette peur ?
Merci d’avance
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Il est clair que le problème n’est plus dans les mezouzot (indépendamment du fait qu’il est bien de les vérifier), il est clair que vous avez une obligation d’honorer vos beaux-parents.
Vous avez une double obligation :
- Vous leur devez du respect car ce sont vos beaux parents,
- Et vous leur devez aussi du respect par égard à votre mari.
Le Rav Ben Tsion Zatsal disait :
« Avec les beaux parents, il n’y a qu’une chose à faire :
kavod, kavod, kavod
(honorer, honorer, honorer) ».
Donc foncez dans ce sens, faites leur des compliments, faites beaucoup plus que ce que vous avez envie, même de façon artificielle, ça leur fera plaisir et cela enlèvera la tension.
Et même s’il y a parfois des mauvaises notes, étant donné qu’en général il y a beaucoup plus de bonnes notes, cela passera inaperçu.
A propos de vos peurs, je veux bien prier pour vous.
Communiquez-moi votre prénom usuel ainsi que celui de votre mère.
Pour enlever les peurs, il est bien de dire la texte « Ana békoa’h » (qu’on peut trouver après le kriat chéma ché-al hamita), il est bien aussi de lire le Tehilim 91 qui empêche tous les dangers.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
kavod, kavod, kavod
(honorer, honorer, honorer) ».
Et même s’il y a parfois des mauvaises notes, étant donné qu’en général il y a beaucoup plus de bonnes notes, cela passera inaperçu.
Communiquez-moi votre prénom usuel ainsi que celui de votre mère.
Rav Ron Chaya
Référence : 6515
Date question sur Leava : 2009-07-29 13:07:17
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