Chalom,
On dit que la parnassa de l’homme depend de sa femme…
En quoi dépend-elle d’elle ?
Est ce une question de tsniout, de comportement ?
Je ne comprends pas très bien.
Qu’en est-il lorsque c’est la femme qui amène la parnassa ?
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Chochana,
Il est écrit dans le Talmud, traité Baba Métsia page 59A :
La bénédiction ne demeure dans la maison d’une personne que grâce à sa femme, comme il est dit (Béréchit chapitre 12) :
« Et il combla Avraham pour elle ».
Cela correspond à ce que disait Rava aux habitants de Mé’hoza :
« Honorez vos femmes afin de vous enrichir ».
- Le sens simple de cette Guémara est que si on honore sa femme en lui achetant des habits et des bijoux, on s’enrichira.
- On peut dire aussi que si on se comporte avec respect envers sa femme, il y aura la paix dans la maison, chose qui amène la bénédiction et la richesse.
- Le Ben Ich ‘Haï écrit que la parnassa, c’est-à-dire le gagne-pain, dépend de la femme.
Effectivement, si on marche sur des miettes de pain dans la maison, cela amène la pauvreté à D. ne plaise ; or, si la femme fait attention à bien balayer le sol pour qu’on ne marche pas sur les miettes de pain, elle fait en sorte que la pauvreté n’atteigne pas leur demeure, c’est donc d’elle que dépend la parnassa.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Effectivement, si on marche sur des miettes de pain dans la maison, cela amène la pauvreté à D. ne plaise ; or, si la femme fait attention à bien balayer le sol pour qu’on ne marche pas sur les miettes de pain, elle fait en sorte que la pauvreté n’atteigne pas leur demeure, c’est donc d’elle que dépend la parnassa.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 13992
Date de création : 2011-07-25 06:07:15
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